Bouaké / JIF 2024 : des étudiantes exhortées à s’engager sur la voie de l’autonomisation


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Les étudiantes de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké ont été appelées à s’engager sur la voie de l’autonomisation. La rencontre est une initiative de Luce communication. Elle se situe en marge de l’édition 2024 de la Journée internationale des droits de la femme. C’était à la salle American Corner de ladite institution universitaire, le vendredi 08 mars 2024.

Il s’agissait de la toute première édition de la conférence sur l’investissement. Elle a pour but d’aider à la réduction de la pauvreté en milieu universitaire.

Dr Pira Kouassi, Maître-assistant en Communication à l’Université Alassane Ouattara, était l’un des conférenciers du jour. Il a exposé sur l’investissement, pour une autonomisation intellectuelle et sociale de la jeune fille en milieu universitaire.

« Quand on parle d’investissement, c’est sur le plan financier et matériel. C’est de permettre aux jeunes filles d’avoir de quoi à résister à ces pressions qui empiètent sur leur cursus universitaire. C’est leur donner les moyens de leur épanouissement. Mais aussi de se mettre à l’abri, pour qu’elles puissent se concentrer véritablement sur leurs études », a-t-il souligné.

Il avait pour collaborateur Dr Zinié Ella Diomandé, Maître assistant, département d’espagnol à l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody. Cette  dernière a invité les étudiantes à s’inspirer des modèles de femmes qui se distinguent de par leur talent.

La directrice de Luce Communication, Martine Kouadio Affoué épse Gokra, s’est exprimée à cette occasion. « L’objectif est d’apporter l’information vraie sur le campus. Cela, pour que les jeunes étudiantes puissent prendre conscience de leurs capacités. Certes, on dit investir en faveur de la femme, accélérer le rythme. On aura beau investir. Si nous ne sommes pas informés, si nous ne prenons pas conscience que le capital humain est très important, dans tout investissement, on n’aura rien fait », a sensibilisé la directrice.

La conférence visait aussi à faire le bilan des acquis en matière de l’autonomisation des jeunes filles. Mais surtout à dégager les perspectives, afin de permettre aux étudiantes de connaitre leurs droits et devoirs, pour mieux se positionner dans la société.

La Journée internationale des droits de la femme a été décrétée en 1975 par l’Onu. Elle se veut une occasion de faire un bilan des luttes pour l’épanouissement du genre féminin dans le monde.

 

Rachelle Coulibaly (Correspondante NDC Région du Gbèkè)

 

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