Journée mondiale de la liberté de la presse : une pensée pour les confrères et consœurs victimes d’abus
L’édition 2023 de la Journée mondiale de la liberté de la presse se célèbre, ce mercredi 3 mai, dans l’ensemble des Etats de la planète. A cette occasion, il importe d’avoir une pensée toute particulière, pour les confrères et consœurs victimes des abus du pouvoir, dans l’exercice quotidien de leurs tâches.
Dans tous les continents du monde, en Afrique, Amérique, Asie, Europe et en Océanie, des journalistes sont souvent opprimés, intimidés, arrêtés, emprisonnés, voire assassinés. Leur combat étant pourtant d’aider à faire éclater tout simplement la vérité sur certains événements.
Il est important de rappeler que le journalisme n’est pas un crime. La profession occupe une place de premier rang dans la consolidation de la paix et l’équilibre de l’humanité. Plus de courage, d’engagement à tous ceux et celles qui se battent, à longueur de journée, pour le respect des droits et des libertés.
Bonne fête à tous ces acteurs des médias qui se servent d’un dictaphone, stylo, d’une caméra comme seule arme, pour éduquer, sensibiliser les populations vis-à-vis des droits humains, en dénonçant toutes les formes d’abus et d’injustice.
La liberté de la liberté est reconnue depuis 1993 par les Nations unies, soit 30 ans de célébration. Pour cette année 2023, les festivités sont placées autour du thème, « Façonner un avenir de droits : la liberté d’expression comme moteur de tous les autres droits de l’homme ».
Sidibé Yacouba Directeur de publication NDC
