Les programmes en question sont cofinancés par l’UE, l’Allemagne, le Danemark, l’Irlande, la France, les Pays-Bas, le Portugal, la Finlande et la Suède, a indiqué l’Union européenne. Ils sont conçus pour soutenir la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), un projet phare de l’Union africaine (UA).
La ZLECAf devrait créer, à terme, un marché unique pour la libre circulation des biens, des capitaux, des services et des personnes, sans aucun droit de douane et sans autres restrictions aux frontières. Les échanges dans le cadre de la première phase de ce projet ont commencé le 1er janvier 2021.
Si elle est entièrement mise en œuvre, la ZLECAf pourrait accroître les revenus régionaux de 9 pour cent, soit 571 milliards de dollars, et aider à sortir jusqu’à 50 millions d’Africains de l’extrême pauvreté, d’ici 2035, selon la Banque mondiale (BM).